Contient : - L'Armoire volante (1948) : Madame Lobligeois, octogénaire têtue, part pour Clermont-Ferrand avec deux déménageurs afin de rapporter à Paris ses quelques meubles, malgré la folle inquiétude de son neveu Alfred Puc, percepteur de son état. Il faut dire qu'il fait de nombreux degrés en dessous de zéro et qu'au retour, la brave dame meurt de froid. Affolés, les déménageurs laissent le corps dans une armoire à glace, et regagnent Paris en avertissant le neveu. Malheureusement, le camion est volé, et avec lui la dépouille. Alors Alfred Puc s'engage dans une palpitante aventure pour retrouver le corps de sa tante. - L'Héroïque Monsieur Boniface (1949) : Boniface, timide étalagiste, trouve un soir en rentrant chez lui un cadavre dans son lit. Enlevé à sa sortie du commissariat par le véritable assassin (Charlie, un chef de bande), Boniface se retrouve libre et héros du jour au lendemain. Adulé, fêté et reconnu, Boniface commence sérieusement à gêner Charlie, qui décide de séduire sa petite amie, Irène. L'affront donnera à l'honnête Boniface la force d'accomplir cette fois, un audacieux coup de maître qui mettra fin à la bande de gangsters. - Boniface somnambule (1951) : Irréprochable détective privé aux magasins Berthès et spécialement au rayon bijouterie, Victor Boniface est somnambule. Ce qui l'amène à dérober la nuit ce qu'il surveille si brillamment le jour. Ce travers va le conduire à faire arrêter héroïquement trois gangsters : Charlie, René et leur complice, qui avaient pour projet de profiter de sa condition nocturne. Mlle Thomas, la sous-directrice de la bijouterie lui confiera son coeur et deviendra la mère de ses nombreux enfants qui seront, eux aussi, somnambules. Lire la suite Fermer

Gaston, professeur de lettres, profite des vacances de Noël pour venir à Paris faire la connaissance de son père qu'il croit banquier. Ce dernier est en fait le chef d'une bande de gangsters. Mais pour faire bonne figure, il s'installe avec ses acolytes dans un château et tous jouent aux hommes d'affaires. Gaston, d'une grande naïveté, ne se doute de rien mais la situation se complique avec l'arrivée d'une bande rivale...

Dans une fête foraine, les passants sont invités par un rabatteur à participer à un jeu autour des sept péchés capitaux.

Sous la forme de sketches, Marie-Lou raconte ses mésaventures dans les sept places successives où elle fut employée comme domestique. Devenue finalement femme de ménage au Musée du Louvre, son amant vient un jour l'enlever... Les tribulations d'une bonne, vues par Carlo Rim (L'armoire volante, Les truands), fameux scénariste-dialoguiste des années 30-40.

Fêtant ses 103 ans, Amédée est pris d'un malaise. Seul avec le prêtre, il revoit son passé de truand enrichi par le vol des montres de gousset. Arrive alors son petit-fils qui lui raconte ses derniers exploits. Après ce récit mouvementé, Amédée a une nouvelle syncope et toute la famille le croit mort. Mais lorsque deux délégués de truands se présentent, Amédée reprend conscience, semant la terreur dans sa famille.

Alfred Puc serait un bien paisible percepteur s'il n'avait, en la personne de sa tante acariâtre et avare, Mme Lobligeois, des occasions permanentes d'angoisse et de conflits...