Durant la seconde guerre mondiale, les Lerner, une famille juive, s'étaient réfugiés dans le château de leurs amis, les Rivière. Victime d'une odieuse dénonciation, Salomé, seule survivante de l'Holocauste, recherche le délateur. C'est sa rencontre avec le pianiste Erik Berchot, réincarnation vivante de son frère Salomon, qui sera le point de départ d'un livre. Trente ans plus tard, Salomé Lerner présente son autobiographie "Partir Revenir" à l'émission de Bernard Pivot, "Apostrophes".

Qui n'a pas rugi en lisant le récit du calvaire de Jean Valjean, envoyé au bagne pour avoir volé du pain ? Qui n'a pas pleuré en suivant la lente métamorphose du bagnard devenant un père aimant au contact de la bonté ? Qui n'a pas serré les poings lorsque les généraux révolutionnaires sont dos au mur ? Le génie de Victor Hugo n'a jamais été aussi bien servi que par le talent passionné de Robert Hossein, qui signe cette mise en images du plus beau roman du monde.

Michel Perrin, important industriel, et Sarah Gaucher, comédienne renommée, n'ont a priori rien en commun... et pourtant, ils disparaissent mystérieusement tous les deux le même jour, à la même heure. Et, surtout, réapparaissent trois jours plus tard comme si rien ne s'était passé. Ce qui pourrait sembler n'être qu'une troublante coïncidence, mais le phénomène se reproduit à l'identique peu de temps après...

Contient : - Ce que savait Maisie : Paris, les années trente. Maisie, âgée de douze ans, est déchirée par le divorce de ses parents. La moitié de l'année chez sa mère, qui n'a pas une heure à lui consacrer, et l'autre chez son père, qui est attiré par les belles créatures, elle apprend à observer le comportement des adultes et à l'interpréter. Elle mûrit très vite. Si vite qu'elle devine tout et parvient à tirer les ficelles autour d'elle. Et à se créer une famille idéale ! - L'amour maudit de Leisenbohg : Le duc Richard, initié aux rites vaudous, lance juste avant de mourir une malédiction à celui qui épousera sa femme. Le baron de Leisenbohg est pourtant amoureux de cette dernière. - La ruelle au clair de lune : Contraint de passer la nuit dans un grand hôtel près des vieilles ruelles du port, le professeur Hans Klemm décide de se promener et de se laisser tenter par un chant gracieux. Il arrive dans un café minable, ou travaille Nelly, une prostituée. Ce lieu sordide est hanté par un quasi clochard, Pierre Willer, amoureux humilié, animé d'une passion dévorante pour cette femme à laquelle il a voué fortune, orgueil et idéal. - La femme abandonnée : Une femme abandonnée par son amant se cloître à la campagne, loin de la haute société parisienne. Elle y tombe amoureuse d'un très jeune homme. De peur d'être à nouveau abandonnée, elle va commettre l'irréparable. - L'ivresse de la métamorphose : Employée des postes dans un village autrichien, Christine vit pauvrement en compagnie de sa mère malade. La guerre a réduit sa famille à la misère, son père et son frère sont morts, à vingt-huit ans, la jeune femme semble s'être résignée au dénuement et à la routine. Un jour, un télégramme arrive dans lequel sa tante, mariée et installée en Amérique, l'invite à passer une quinzaine de jours en ville avec elle. Christine s'habille du mieux qu'elle peut et, pleine d'appréhension, prend le train. Très intimidée à son arrivée, elle est prise en main par sa tante qui l'habille, la présente à ses amis et s'amuse des maladresses et des progrès de sa protégée... Lire la suite Fermer

On ne sait qui il est, ni d'où il vient. Vêtu d'une combinaison blanche, il sillonne les routes de campagne sur sa moto. Le destin le conduit dans un village de la France profonde fraîchement marqué par la mort d'une enfant, fauchée par un deux-roues. Très vite, l'étranger ressent l'indifférence, puis le mépris et bientôt la haine de ces villageois confinés dans leurs préjugés. Seule Madeleine, mère célibataire, accepte de lui venir en aide. Mais tous les hommes du village, jusqu'au maire, ont trouvé en l'étranger leur bouc émissaire.

C'est la periode des vacances comme les aimeraient, en 1992, Tati et Doisneau. Les statistiques sont formelles, c'est au mois de juillet et août qu'il y a le plus de demandes de divorce. Vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sans les relations de travail, sans les maîtresses, sans les copains, avec les enfants, les chiens, les embouteillages, les prix grimpent, c'est très dur...

Paris, les années trente. Maisie, agée de douze ans, est déchirée par le divorce de ses parents. La moitié de l'année chez sa mère, qui n'a pas une heure à lui consacrer, et l'autre chez son père, qui est attiré par les belles créatures, elle apprend à observer le comportement des adultes et à l'interprèter. Elle mûrit très vite. Si vite qu'elle devine tout et parvient à tirer les ficelles autour d'elle. Et à se créer une famille idéale !

On ne sait qui il est, ni d'où il vient. Vêtu d'une combinaison blanche, il sillonne les routes de campagne sur sa moto. Le destin le conduit dans un village de la France profonde fraîchement marqué par la mort d'une enfant, fauchée par un deux-roues. Très vite, l'étranger ressent l'indifférence, puis le mépris et bientôt la haine de ces villageois confinés dans leurs préjugés. Seule Madeleine, mère célibataire, accepte de lui venir en aide. Mais tous les hommes du village, jusqu'au maire, ont trouvé en l'étranger leur bouc émissaire.

En 1947, Édith Piaf et Marcel Cerdan sont tous deux au sommet de leur gloire. Ils se rencontrent et c'est le début d'une histoire d'amour qui va durer deux ans, jusqu'à la mort tragique de Cerdan dans un accident d'avion...