Un film inédit de Stéphanie Argerich sur sa mère : Martha. Un portrait familial original et tendre, réalisé avec des images inédites d'une artiste complète.
La mère vue par les yeux de sa fille : Stéphanie Argerich nous convie à une rencontre unique, un portrait familial rempli de conversations intimes, de liens forts, familiaux et musicaux. Très bien mise en relief, la vie de deux géants de la musique : Martha Argerich et Stephen Kovacevich, couple élégant et sincère, à la scène comme à la ville.
Répétitions, concerts, scènes de la vie quotidienne, délicieuses anecdotes qui ponctuent les scènes de vie d'une famille unie, captées en tournée tout autour du monde ou dans la maison familiale.
Un document rare et authentique dans lequel on retrouve Martha Argerich jouant le Concerto n°1 de Chopin, les mazurkas de l'Op. 24 et le Traumeswirren de Schumann.
Les DVD et Blu-Ray sont proposés dans un luxueux Digipak au contenu éditorial très complet.
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Musicien, arrangeur et producteur de John Cale, du groupe U2 et de David Bowie notamment, Brian Eno est l'un des grands acteurs
de la scène musicale depuis plus de trente ans. Sa carrière a toujours été poussée vers la recherche, l'expérimentation et l'ouverture à
toutes les formes de musique et d'art. Avec Music for Airports, Brian Eno lance un nouveau genre musical : ''l'Ambient'', une musique
réfléchie, proposant des atmosphères minimalistes, qui peut aussi bien se prêter à une écoute attentive que distraite. Music for Airports
en devient le manifeste à la fin des années 70 et compte ainsi parmi les oeuvres clefs de la fin du XXe siècle.
Pendant le Holland Festival en 1999, l'ensemble phare new yorkais Bang on a Can a joué leur nouvelle version instrumentale de Music
for Airports, oeuvre aujourd'hui culte de Brian Eno. Ce concert était illustré d'images digitales de Schiphol, l'aéroport d'Amsterdam, prises
par Frank Scheffer et diffusé sur un écran géant.
Durée du film : 50 minutes
In the Ocean renouvelle le genre du documentaire musical. En réunissant pour la première fois dans un même film des musiciens tels
que Steve Reich, Brian Eno, Philip Glass, Louis Andriessen, il permet de comprendre toute la complexité du mouvement de la musique
contemporaine de ces trente dernières années, ainsi que les influences croisées entre l'Europe et le Nouveau Monde.
Cet aller-retour entre les deux continents est personnifié par l'histoire de Bang on a Can, un des mouvements musicaux les plus vivants
de notre époque. Les fondateurs et directeurs artistiques de Bon on a Can son trois jeunes compositeurs américains : Michael Gordon,
David Long et Julia Wolfe. Cette nouvelle génération se présente comme les héritiers de l'avant-garde des compositeurs américains,
de Charles Ives et John Cage jusqu'à Steve Reich et Philip Glass.
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Femme, artiste, poétesse, chanteuse, récitante, peintre, mère, militante, photographe... Patti Smith, personnalité exceptionnelle aux talents multiples, est une légende. Marraine du mouvement punk dans les années soixante-dix, elle est plus qu'une icône du rock : elle est une icône tout court. Née en 1946 à Chicago d'un père qui fut chanteur de jazz et d'une mère ouvrière, elle découvre la musique en écoutant les Rolling Stones, le Velvet Underground, et James Brown. En 1967, elle s'installe à New York et rencontre le photographe Robert Mapplethorpe. Son premier single, en 74, est une reprise du Hey Joe de Jimi Hendrix, un an avant l'album Horses qui est produit par John Cale. Le début de la légende...
L'exposition qui lui a été consacrée à la Fondation Cartier à Paris au printemps a mis en lumière son aura d'artiste engagée et de rockeuse fascinée par Arthur Rimbaud et William Blake : des milliers de visiteurs, une couverture médiatique sans précédent, Patti Smith était de retour et elle était partout...
Quant au film de Steven Sebring, il a attiré tous les regards lors de sa diffusion sur Arte le 25 mars dernier, et la promotion considérable dont il a bénéficié (notamment la une de Libération), est à la hauteur de sa qualité. Seul film documentaire existant sur Patti Smith, Dream of life nous plonge dans son parcours unique et il explore son expression artistique sous toutes ses formes. Pendant onze ans, Sebring a accompagné la chanteuse, et il a su la capturer à travers ses témoignages, ses peintures, ses photographies, sans oublier ses combats. En dehors de quelques moments spectaculaires sur scène, on relève plusieurs moments de choix comme cette lecture d'un poème d'Alan Ginsberg où Patti Smith est accompagnée de Philip Glass au piano qui vous coupe tout simplement le souffle.
Sélection officielle du Festival International du Film de Berlin et du Sundance Film Festival en 2007.
Photographe de formation, Steven Sebring est un adepte du naturalisme. Il a beaucoup travaillé dans le monde de la mode. Il fait la connaissance de Patti Smith au cours d'une séance photo pour un magazine. Très impressionné par la chanteuse, il obtient de la filmer en concert : Dream of Life vient de naître et sa conception va s'étaler sur onze ans. Il s'agit du premier long métrage de Sebring.
Chaque individu a plusieurs facettes, raconte le cinéaste. Je sais que je ne suis pas seulement un photographe de mode. Et Patti Smith n'est certainement pas qu'une icône du rock. Elle est bien davantage. Pour moi, ce film traite de la découverte de son identité.
Tout s'est passé de façon très organique. Notre amitié s'est épanouie pendant une décennie et j'ai appris à la connaître tandis que mon objectif faisait également sa connaissance. J'ai grandi avec les hits dont MTV m'a nourri. Mais le monde de la musique a tellement plus à nous offrir. C'est pourquoi Patti est si importante.
Il y a quelque chose de très cru chez elle, elle échappe à tout artifice. Que ce soit par sa poésie ou sa façon de se produire sur scène, elle est tout à fait authentique. C'est une star du rock, une poétesse, une artiste, une mère et une militante. C'est une héroïne populaire. Elle a vécu beaucoup de choses tragiques et elle s'en est sortie. Je ne connais personne qui soit comme elle.
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De San Juan Hill à la 52ème rue en passant par Manhattan et le Minton's Playhouse de Harlem, le parcours haut en couleurs du leader de la révolution bop.

Un complément en images des plus belles plages enregistrées par le saxophoniste pour Prestige, Blue Note, Atlantic, et Impulse !. Le swing est dépassé, le blues palpite en filigrane, la transe n'est jamais loin.

Voici une étonnante nouveauté à la fois technologique et musicale : sur un Blu-Ray, un procédé de compression exceptionnel permet de visionner plus de 15 heures d'images d'archives des plus grands musiciens du siècle dernier.
Consacré au piano (le précédent était consacré aux cordes, en rappel sur ce document) on y voit dans des images restaurées et un son inédit Gould, Kempff, Michelangeli, Cziffra, Ciccolini, Brendel et bien d'autres dans des oeuvres riches et variées, celles qui ont fait l'histoire de ses interprètes de légende.
En concert avec orchestre, en récital, en documentaires fascinants, cette édition Classic Archive consacrée aux pianistes collecte des prises de vue très rares pour certaines, captées entre 1950 et 1978. Autant de documents uniques pour mélomanes avertis et passionnés de Musique, avec un grand M !
Interprètes :
Glenn Gould, Arturo Benedetti Michelangeli, Georges Cziffra Wilhelm Kempff, Aldo Ciccolini, Samson François Claudio Arrau, Emil Gilels, Byron Janis, Alfred Brendel OEuvres de Beethoven, Chopin, Debussy, Falla, Franck, Granados, Grieg, Liszt, Rachmaninov, Ravel, Scarlatti, Schumann, Prokofiev, Tchaïkovski
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A l'occasion du 100ème anniversaire de la naissance de John Cage, voici un nouveau documentaire de Franck Sheffer réalisé à partir de ses archives personnelles.
De 1982 à 1992, Franck Sheffer a travaillé avec John Cage en de très nombreuses occasions et il a longuement filmé la vie du compositeur. Il en résulte un matériau audio visuel unique fait d'archives historiques, d'interviews, de performances musicales en studio ou sur scène.
Tourné dans différents lieux en relation avec sa vie personnelle ou son travail de compositeur, le réalisateur a finalement créé ce document unique intitulé avec sensibilité « Comment sortir de sa cage : une année en compagnie de John Cage ».
« En Juin 1982, j'ai rencontré John Cage par l'intermédiaire d'une amie commune : je ne savais rien de lui ni de son influence sur le monde musical et il était particulièrement satisfait de cet interview, pour ces mêmes raisons. Ces moments ont radicalement changé ma façon de voir, il m'a ouvert l'esprit d'une manière incroyable. » Franck Sheffer.
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