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"Oublis, regrets et repentirs" est une bobine oubliée (la 6 bis) de "Mes sept lieux". Ni bonus ni post-scriptum ni addendum ni apostille, c'est un film sauvé des eaux, comme Moïse, qui raconte une journée dans la vie de Boris Lehman (mais comme il le dit lui-même, tous les jours sont différents, même quand ils se ressemblent)". "Au bout d'un périple de plus de 9000 kilomètres, quelque part au bout du monde, le cinéaste arrive dans une ancienne enclave autonome juive imaginée par Staline, afin de retrouver des traces de son nom. Mais la fin, c'est aussi la mort, l'arrêt, le non mouvement, et l'allégorie du train s'arrêtant dans les camps. Alors il entrecoupe ce voyage par la rencontre de gens, des autres, qui deviennent à leur tour le sujet du film et passeurs d'histoires." - Bertrand Gevart (Une histoire de cheveux (Sibérie)) "Comment filmer sa propre mort ? Comment la mettre en scène ? Au premier abord cela peut faire sourire et pourtant cette question concerne tout un chacun, même si on n'est pas cinéaste. "Funérailles (de l'art de mourir)" se présente comme le "dernier" épisode de mon oeuvre auto-ciné-biographique, "Babel", qui couvre un peu plus de trente ans de ma vie." "Je voulais faire un film qui aurait été comme une promenade à travers mes archives. Mais j'ai fait un infarctus et au moment où j'étais emmené à l'hôpital, une fissure est apparue sur le mur de mon atelier. Ces deux évenements ont déclenché un film, "(Fantômes du passé)" un peu différent, un peu dévié, dicté par la peur de mourir et d'être enseveli. Comme toujours, ce sont mes amis, mes films et les femmes qui m'ont sauvé. Ici, la chanteuse de fond - le choeur de la tragédie - s'appelle Fanchon Daemers. Et mon ange gardien - mon accoucheuse - Sarah Moon Howe. Elle a coréalisé le film." - oris Lehman
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"Lors de la premie're projection d'Horizons, à Londres, je l'ai regardé, les yeux ouverts et illuminés, et je l'ai trouvé tre's beau. Plus tard, j'ai écouté Gottheim parler du film. J'ai découvert le réseau complexe de correspondances et de rimes d'images dans le film. Au cours de mes deuxie'me et troisie'me visionnages, j'ai été tre's attentif à l'idée de voir et de comprendre les correspondances et les rimes. Mais j'ai trouvé le film tout aussi beau, sinon plus. Le quatrie'me visionnage a de nouveau été un visionnage sans intention particulie're, les yeux grands ouverts. Lors de la projection à la Cooper Union, j'ai découvert soudainement l'incroyable richesse des couleurs. Je me suis assis pre's de l'écran et j'ai vu ces couleurs éclatantes et j'ai été étonné de pouvoir regarder Horizons quatre fois sans remarquer la splendeur de ses couleurs." -Jonas Mekas "Mouches Volantes se dévoile et se replie devant nous, tout comme les vagues sur la plage dans les sections 5 et 6. Les plans eux-me^mes deviennent des images familie'res, tout comme la bande sonore magique et mystérieuse. La tonalité de la pellicule passe d'un noir et blanc tre's contrasté à une couleur atténuée et vice- versa. Tout ce lyrisme cyclique crée une plénitude, un ensemble organique." -Raymond Foery "Comme des constellations qui tournoient, une double chai^ne de 4 séquences d'images et de 4 séquences de sons se succe'dent en 16 combinaisons - une famille de singes Gibbon, un paysage délimité, un diagramme ombragé d'apre's Cézanne, une sce'ne urbaine hivernale, un texte de Wordsworth, une sce'ne culminante de l'opéra de Debussy, Pelléas et Mélisande". (Larry Gottheim sur Four Shadows) "Tout a commencé en filmant l'arbre. Quelque chose s'est libéré avec cette manie're de filmer apparemment la plus éloignée de la méthode des premiers films. Mais le film n'a pris forme qu'avec l'idée de relier ce matériau de l'arbre, profondément enraciné et d'une grande amplitude, à ce film sur la paranoia qui m'avait fasciné pendant de nombreuses années." (Larry Gottheim sur "Tree of Knowledge")
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Cinexperimentaux 12 - Su Friedrich
Frédérique Devaux , Michel Amarger , Su Friedrich
- RE:VOIR
- 20 Septembre 2023
- 3493551102038
Su Friedrich, née en 1954 à New Haven, est installée à Brooklyn. Elle signe des films indépendants dès les années 1970, explorant depuis ses débuts la condition des femmes, la revendication des combats lesbiens, son histoire familiale, l'évolution de la société américaine. À travers ses recherches graphiques à même la pellicule, ou incrustées dans ses oeuvres numériques, avec un regard acéré, elle développe, dans la fiction, le documentaire, le témoignage militant, une quête et une critique identitaire dans son environnement.
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31 courts métrages de Stan Vanderbeek réunis en un coffret.
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"Ce qui semble, à première vue, être une rayure au début de Presents ouvre littéralement un film à l'intérieur du film. Lorsque la figure du film s'éveille et devient une femme dans un "vrai" décor irréel, la satire bouffonne du cinéma structural commence. Ce n'est pas la caméra qui se déplace, mais le décor entier, dans ce premier volet d'une série de trois "investigations" sur les mouvements de caméra. Dans le second volet, la caméra envahit littéralement le décor , une plaque de plexiglas placée devant le chariot de la caméra brise tout ce qui est devant elle en traversant l'espace. Finalement, ce monstre de formalisme force le mur du décor et le film enchaîne sur un montage rythmé de plans où il zigzague sur des lignes de force et des champs de vision mouvants, tel l'|il dans la nature. Snow nous pousse à accepter des moments présents de visible, mais l'unique coup de tambour coïncidant avec chaque coupe dans cette partie élégiaque annonce à chaque instant la disparition irréversible de la vie." - Philip Monk, Art Express
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Coffret Jonas Mekas - Diaries, Notes and Sketches (vol. 1-8)
Jonas Mekas
- RE:VOIR
- 10 Juin 2022
- 3493551101895
Ce coffret réunit les "journaux filmés" de Jonas Mekas (1922-2019). Dans ce cinéma personnel qui consiste à filmer la vie à la volée, Mekas travaille sans scénario comme dans une prise de note en image de ce qui l'entoure. Il filme de manie're quasi-quotidienne et accumule les bobines de 30 me'tres (2'30"), montant périodiquement, sélectionnant et regroupant bobines et fragments pour en faire ses films qui refle'tent les différentes périodes de sa vie : New York de l'apre's-guerre avec les personnes déplacées comme lui-me^me , en plein milieu des années 1960, au coeur de l'avant-garde , plus tard les retours en Lituanie à la fois doux et tristes. En filigrane, la famille, les amis et les choses simples de la vie laissent une trace sublime sur la pellicule, celle du temps qui ne cesse de courir mais que Jonas Mekas, en le filmant, rend à la réalité. À l'origine, Jonas Mekas avait pensé Diaries Notes and Sketches comme une oeuvre unifiée dans son style et dans sa continuité. Elle allait comporter un certain nombre de chapitres, Walden étant le premier à e^tre monté etprojeté, tandis que Lost Lost Lost ayant été tourné pendant les 15 ans qui le préce'dent, n'allait e^tre monté que sept ans plus tard. Mekas abandonna pourtant ce titre unique devant l'incompréhension des laboratoires de tirage cinématographique, et chaque film aura finalement son titre spécifique. Notre premier volume est Walden (tourné 1964/1968, monté en 1969), suivi par Lost Lost Lost tourné 1949/1963, monté en 1976. Nous avons associé Reminiscences of a Journey to Lithuania (tourné et monté en 1971) avec Paradise Not Yet Lost (tourné en 1977, monté en 1979). Puis vient une série de courts-métrage tournés entre 1963 et 1967, montés jusqu'en 1978. Volume 5 regroupe les portraits d'amis artistes (Andy Warhol, George Maciunas, Yoko Ono & John Lennon, et Peter Beard & la famille de John F. Kennedy) en quatre films tournés dans les années 1960 et 70, montés entre 1990 et 1999. Volume 6 réunit des films et vidéos qu'il fait entre 1991 et 2015 sur sa vie et son parcours. Les volumes 7 et 8 portent son film le plus long monté en 2000 (tourné entre 1974 et 1999) As I Was Moving Ahead Occasionally I Saw Brief Glimpses of Beauty, un poéme épique sur sa vie de famille pendant ce dernier quart de sie'cle. Les éléments vidéo inclus sur ces disques sont tirés des derniers transferts de haute qualité des tirages de films les plus vierges disponibles. Certains de ces films sont inédits en format vidéo. Des cadeaux spéciaux sont inclus pour compléter les films et pour améliorer votre plaisir de visionnement chez vous.
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Club Antonin Artaud : expériences cinématographiques en milieu psychiatrique
Lehman Boris
- RE:VOIR
- 1 Janvier 2022
- 3493551101826
Le 10 janvier 1962, dans le contexte turbulent des mouvements antipsychiatriques, naissait a` Bruxelles le Club Antonin Artaud, sous l'impulsion d'anciens malades mentaux et certains de leurs the´rapeutes. Dans ce lieu d'avant-garde, de´signe´ centre de re´adaptation sociale et culturelle, Boris Lehman y cre´e un groupe de re´alisation de films, le premier du genre. En dix-huit ans, une centaine de films auront e´te´ re´alise´s, individuellement ou collectivement : documentaires, fictions et films expe´rimentaux. Ce ne sont pas des films the´rapeutiques, ce sont pluto^t des expe´riences d'art brut. Nous en avons se´lectionne´ sept.
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Marie Losier - Felix in Wonderland / The Ballad of Genesis and Lady Jaye
Marie Losier
- RE:VOIR
- 9 Décembre 2021
- 3493551101864
Marie Losier, cinéaste new-yorkaise née à Paris, commence à filmer, par des portraits des gens qu'elle a rencontré à New York, en documentant leur vie à partir de ce qu'elle voit et ce qu'elle ressens après de nombreuses années dans le théâtre et la peinture qui ont eu une grande influence sur elle. Puis elle mélange son imagination pour représenter ces personnages ou des sitautions comme dans un tableau vivant. Toujours avec la matérialité de la pellicule qui exige une certaine façon de faire, son cinéma développe un mystère, un moment magique.
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Werner von Mutzenbecher - Film is a Mystery
Werner Von Mutzenbecher
- RE:VOIR
- 2 Novembre 2021
- 3493551101840
"Bien que von Mutzenbecher soit davantage reconnu comme peintre, son oeuvre cinématographique a suivi une voie distincte et tout aussi effective. Son approche de chaque médium reste fide'le aux propriétés propres dudit médium. Le cinéaste, qui d'ordinaire travaille seul, apparai^t souvent dans ses films. On voit rarement d'autres gens. Ce sont pluto^t des espaces et des objets qui sont livrés à notre observation : les espaces entre les objets, des environnements privés et publics, des objets du quotidien, des architectures notables, des allusions à des états psychologiques." - Mark Webber
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Nearly 3 hours of LGBTQ and Coming-of-Age short films and music videos await you in the debut of Altered Innocence's cinematic mixtape supreme!
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Lorsqu'un jour nous avons demandé à Jonas Mekas quels films nous devrions éditer en DVD, il a répondu sans hésitations : "Les home-movies de Taylor Mead". C'était suffisant pour attiser notre curiosité. Mead, "la première star du cinéma underground", est connu en tant qu'acteur, clown et improvisateur mais ses propres films sont rarement projetés. Témoignages fascinant de l'underground new-yorkais, dans lequel Mead fait lui-même le pitre, sa façon de filmer au style percutant ainsi que son sens de l'humour font de ces films un aperçu précieux et un produit de la culture avant-garde du milieu des années 1960 - filmé sur de la Kodachrome époustouflante. - Pip Chodorov, Re:voir En 1964, avant que Warhol ne devienne une méga star du pop art, il invita Mead à faire un road trip en Californie pour le vernissage d'une exposition dans une galerie. Ils finirent par réaliser Tarzan et Jane Regained... Sort Of, une parodie des films d'aventure hollywoodiens qui devint le premier long métrage en partie scénarisé de Warhol. Le film avait pour vedette Mead dans le rôle d'un Tarzan hollywoodien qui s'ébattait avec une Jane nue dans une baignoire du Beverly Hills Hotel, s'entraînait sur Venice Beach et faisait un concours de gros biceps avec un Tarzan rival joué par Dennis Hopper. Mead est apparu dans à peu près 10 films de Warhol au cours de la décennie suivante, y compris une oeuvre étrange de 76 minutes mettant en scène son arrière-train nu. Se qualifiant lui-même de "vagabond des arts", Mead a également joué sur scène, remportant un Obie Award en 1963 pour sa performance dans la pièce de Frank O'Hara The General Returns From One Place to Another. - Elaine Woo, LA Times
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4 films d'Alain Mazars :
ROUGES SILENCES 1978, 16mm, couleur, stereo, 53 mins
LE JARDIN DES AGES 1982, 16mm & n/b, couleur, stereo, 31 mins
VISAGES PERDUS 1983, 16mm, couleur, stereo, 13 mins
ACTUS 1984, 16mm, couleur, stereo, 23 mins -
"Peintre de la transversalité" selon son ami Félix Guattari, Jean-Jacques Lebel (né en 1936) développe depuis les années 1950 une inclassable pratique. À la fois artiste et activiste, * auteur de happenings et organisateur d'événements, écrivain et éditeur, il est en France l'un des plus importants "passeurs" de la seconde moitié du 20ème siècle. -Alexandre Mare, Art Press Les happenings organisés en Europe, dans les années précédant Mai 68, par mes amis et moi, contrairement à ceux de nos correspondants d'outre-Atlantique, se sont soulevés contre l'ordre moral, contre la dictature de la marchandise, contre toute autocensure en matière de sexe et de politique. Nous avons tourné le dos au marché de l'art et à tout académisme, fût-il " engagé ". Nous voulions dire et faire autre chose, autrement. Et nous l'avons fait. -Jean-Jacques Lebel En décembre 1967, le Festival International du Film Expérimental de Knokke-le-Zoute - EXPRMNTL 4 - créé par Jacques Ledoux, était une expérience unique. Mêlant films, performances et tables rondes, il fut rapidement transformé par des vagues de dissidence, des manifestations et des débats, aboutissant à un happening spontané de Jean-Jacques Lebel. De rares documents cinématographiques de Claudia von Alemann et Jud Yalkut jettent un éclairage précieux sur l'atmosphère énergique de ces événements tapageurs, juste avant mai 68.
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Klonaris/Thomadaki - Le Cycle de l'ange (Selected Works)
Katerina Thomadaki , Maria Klonaris
- RE:VOIR
- 24 Octobre 2020
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Figures de proue du cinéma expérimental, initiatrices du "cinéma corporel" et protagonistes des environnements de projection, instigatrices d'approches novatrices de la photographie et pionnie'res du croisement des média, Maria Klonaris et Katerina Thomadaki démontrent par la rigueur de leur engagement personnel, comme par leur démarche qui se développe en longs cycles, la nécessité de repenser la création contemporaine à la lumie're des nouveaux outils technologiques, mais aussi à celle des préoccupations scientifiques, sociales et philosophiques actuelles. - Christian Gattinoni
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MM Serra - (ART)CORE
Jennifer Todd Reeves , Josh Lewis , M.m. Serra
- RE:VOIR
- New York Film-Makers' Cooperative Collection
- 29 Juillet 2020
- 3493551101741
C'est une méditation étrange sur les plaisirs et les douleurs du SM, dans laquelle des entretiens avec des adeptes sont confrontés à des extraits pornos bien choisis, des dessins animés de Fleisher, les poupées de Hans Bellmer... Le résultat est percutant, ce film ne s'oublie pas et il ne tombe jamais dans l'exagération ou le cool mortife're. - Manohla Dargis, Village VoiceMontrez ce film ! Je vous en supplie. C'est une expérience unique, vraie, comme aucun autre film. C'est impossible de voir cela ailleurs. Certains seront choquer, mais le monde réel est rempli de choses choquantes et nous devons le savoir et le voir, rien de ce qui est humain ne doit échapper à la connaissance. Vous avez fait un VRAI film sur de VRAIES personnes. C'est l'une des choses les plus difficiles à faire au cinéma. Je vous dis bravo. - Jonas MekasSon cinéma est marqué par une sensualité débor- dante, un souci de la lumie're, de l'entrain et une bande son savamment composée. - Barbara Hammer
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La mer du milieu est un film de la Méditerranée d'aujourd'hui qui prend corps à travers un échange entre deux amis, l'écrivain Nathalie Quintane et le réalisateur Jean-Marc Chapoulie, parcourant tous deux les rives nord et sud de cette mer, immobiles depuis leur écran d'ordinateur.
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Un jour à New York, je porte mon linge dans une petite blanchisserie chinoise. Puis je l'oublie quelques semaines. Lorsque j'y retourne, il n'y a plus de blanchisserie, le ba^timent avait été démoli ! l'idée de mes draps disparus à jamais avec la blanchisserie m'a hantée. Cette expérience a été le point de départ du scénario de Hotel New York. J'ai voulu écrire et réaliser ce film pour montrer que là-bas tout est transitoire. les choses bougent et sont immédiatement remplacées, bien plus vite qu'en europe. L'histoire est née de ma propre expérience et de mes impressions en tant qu'étrange're. C'est une comédie dramatique. - Jackie Raynal, Libération
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"De Maciunas, on se souvient surtout qu'il était l'idéologue en chef et l'organisateur de Fluxus, ce réseau international mal défini d'anti-artistes, néo-dadaistes, praticiens du happening et autres pourvoyeurs d'art. Jeffrey Perkins - lui-me^me auxi- liaire Flux, avec une carrie're d'artiste et de chauf- feur de taxi longue de plusieurs décennies - a recherché et collecté des entretiens et des éphé- me'res sur le legs de Maciunas." Tyler Maxin, Screenslate