Ce livre est publié à l'occasion de l'exposition inaugurale 2021 à l'Academy Museum of Motion Pictures de Los Angeles, en collaboration avec le Studio Ghibli de Tokyo. Il présente des centaines de matériaux de production originaux, principalement un très grand nombre de dessins, et des oeuvres d'art jamais vues auparavant en dehors des archives du Studio Ghibli. Croquis de travail, dessins de personnages, storyboards, mises en page, arrière-plans et films de production de ses débuts de carrière à travers ses 11 longs métrages, y compris Mon Voisin Totoro (1988), Kiki la Petite Sorcière (1989), Princesse Mononoké (1997), Le Voyage de Chihiro ( 2001) et Le Château Ambulant (2004), offrent un aperçu du processus créatif de Miyazaki et de ses techniques d'animation.
«Ce livre est en réalité deux livres. C'est à la fois une biographie et une rétrospective iconographique d'une actrice qui aura sans doute vécu sa plus grande histoire d'amour avec l'objectif des appareils photos», commentait Norman Mailer en 1973 dans sa biographie, Marilyn. TASCHEN a réuni le texte originel de Mailer et les photographies prises par Bert Stern lors de la légendaire «Dernière Séance» ? qui a donné, de l'avis général, les photos les plus intimes jamais prises de Marilyn ? pour créer un hommage à l'image d'une femme, qui, au moment de sa mort en 1962, évoquait dans le monde entier et pour toute une génération le symbole absolu du glamour et de l'érotisme. Mais si son public l'adorait et l'acclamait, sa vie privée restait celle d'une petite fille perdue, recherchant éperdument amour et sécurité. La Marilyn de Mailer est à la fois magnifique, tragique et complexe. Alors qu'il retrace la vie de l'actrice ? de son enfance déprimante jusqu'aux circonstances mystérieuses de son décès ? elle apparaît progressivement comme le symbole de l'étrange décennie pendant laquelle elle a régné sans partage sur Hollywood. Ce livre, conçu par Lawrence Schiller, collaborateur de Mailer sur 5 de ses livres, associe l'imposant texte de l'auteur aux photos pénétrantes de Stern, qui saisissent Marilyn à 36 ans. Photographiée pour le magazine Vogue pendant trois jours à l'hôtel Bel-Air, Marilyn ne s'était encore jamais livrée de manière si intime, jamais révélée aussi incroyablement belle. Six semaines plus tard, et dans d'étranges circonstances, elle mourait. À travers cette synthèse audacieuse d'un classique de la littérature et d'une séance photo légendaire, Mailer et Stern lèvent le voile de confusion qui entoure Marilyn ? femme, vedette, sex-symbol ? donnant à voir au plus près une icône dont la personnalité demeure, aujourd'hui encore, aussi énigmatique qu'évanescente.
Dans ce premier volume de la monographie illustrée de TASCHEN sur les dessins animés Disney, parmi la plus complète jamais publiée, 1.500 images nous transportent au cÅ«ur du studio pendant «l'âge d'or de l'animation». Cet nouvelle édition, dérivée du volume XXL, comprend des photos des coulisses, des croquis préparatoires et planches d'assemblage des cellules pour des scènes restées célèbres. Il couvre tous les grands longs métrages d'animation réalisés du vivant de Walt, ainsi que des courts métrages expérimentaux moins connus, des films musicaux à épisodes et des projets inaboutis.
On lui attribue, dans les années 1920, les premiers films impressionnistes, féministes, puis surréalistes. Qu'est-ce que le cinéma ? constitue la première édition des écrits théoriques de Germaine Dulac (1882-1942), pionnière du septième art, près de 75 années après la conception du manuscrit, où elle développe une réflexion sur le cinéma aux échos fortement contemporains.
Composé des nombreuses conférences de la cinéaste (1925-1939) assemblées par sa partenaire Marie-Anne Colson-Malleville et préservées dans les archives de Light Cone, cet ouvrage éclaire le rôle majeur de cette pionnière de l'avant-garde française, innovatrice de la pensée cinématographique moderne, qui théorisait déjà, dès les années 1920, ce qu'est le cinéma.
« L'oeuvre et la pensée de Germaine Dulac ont beaucoup compté dans l'histoire du cinéma. Ce livre permet de mieux la connaître et de l'apprécier. C'est très important pour faire vivre la cinéphilie, qui est d'ailleurs l'une des missions du CNC. » Dominique Boutonnat, Président du Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC) Ouvrage récompensé du Prix du livre de cinéma 2020 du CNC.
«L'art de Giger puise essentiellement dans notre psyché et touche nos instincts et nos peurs primaires les plus enfouies. Son art est à ranger dans une catégorie à part. Preuve en est l'intensité de son oeuvre et de son imagination, que je ne peux comparer qu'à celles d'un Jérôme Bosch ou d'un Francis Bacon de par leur pouvoir de provocation et de déstabilisation.» - Ridley Scott L'artiste suisse HR Giger (1940-2014) est surtout connu pour avoir créé le monstre de l'espace du film de science-fiction Alien (1979) de Ridley Scott, récompensé par un Oscar. Rétrospectivement, ce personnage ne représente qu'une des nombreuses représentations les plus populaires de l'arsenal de créatures biomécaniques de Giger où s'entrechoquent hybrides hommes-machines, images de puissance obsédante et psychédélisme obscur. Ces visions convoquent autant les démons du passé qu'elles esquissent les mythologies du futur. Elles expriment avant tout les craintes et les fantasmes collectifs de son époque: la peur du nucléaire, de la pollution et de la surexploitation des ressources naturelles, ou celle d'un avenir où la survie de nos corps dépendrait des machines. Cette édition se fonde sur la monographie au format SUMO, entreprise peu avant le décès soudain de l'artiste, et rend hommage à la vision sans pareil de Giger. Elle déroule l'histoire complète de sa vie et de son oeuvre, ses sculptures, ses oeuvres cinématographiques et ses légendaires couvertures d'album, de même que l'héritage qu'il nous a laissé dans son propre musée d'artiste et son café des Alpes suisses. Dans un essai approfondi, Andreas J. Hirsch, spécialiste de Giger, nous plonge dans les thématiques propres à l'oeuvre et à l'univers de l'artiste, tandis qu'une biographie détaillée s'appuie sur des citations de critiques contemporains et les propres écrits de l'artiste.
La Polaroid Corporation détient la plus grande collection de photographies instantanées au monde. Lancée par le fondateur de Polaroid, Edwin Land, et le photographe Ansel Adams, elle regroupe aujourd'hui près de 23.000 images de centaines de photographes du monde entier, dont des oeuvres réalisées par des artistes comme David Hockney, Andy Warhol ou Jeanloup Sieff. Véritable plongée dans les archives de la firme, The Polaroid Book rend hommage à ce support qui défie le temps, à l'ère du numérique. Telle une immense pellicule Polaroid, cette anthologie révèle les oeuvres de grands noms du genre et d'inconnus, célébrant les possibilités infinies contenues entre les marges blanches de la photographie instantanée. Inclut: Plus de 250 oeuvres de la Collection Polaroid Un essai de Barbara Hitchcock, de Polaroid, sur les débuts de la photo instantanée et l'histoire de cette collection Un chapitre détaillant les différents appareils Polaroid
Avant même que l'expression ne soit inventée, Ellen von Unwerth était déjà un top-model, autant dire qu'elle maîtrise l'art de photographier les belles femmes. Aujourd'hui parmi les photographes de mode les plus originaux et les plus célèbres, elle rend hommage aux femmes les plus séduisantes dans Fräulein. Dans cette célébration des icônes féminines les plus sexy de notre époque, vous retrouverez Claudia Schiffer, Kate Moss, Vanessa Paradis, Britney Spears, Eva Mendes, Lindsay Lohan, Dita von Teese, Adriana Lima, Carla Bruni, Eva Green, Christina Aguilera, Monica Bellucci et bien d'autres encore. Alternant parfaitement couleur et noir et blanc impeccable, les photos d'Unwerth sont un régal de sensualité, de féminité, de romantisme, de fétichisme, d'humour kitsch, de décadence et de joie de vivre. Qu'elles soient nues, parées de lingerie ou d'un sourire éclatant, ses modèles ne sont jamais considérées comme des objets. Certaines dévoilent des fantasmes intimes, d'autres se montrent plus réservées, comme si le lecteur les surprenait dans leur intimité. Jamais mode et fantasmes n'ont formé de mélange aussi séduisant.
" La mémoire a conservé peu de choses de ce spectacle, sinon la certitude de quelque chose de capital, quelque chose qu'on se doit de dire, et qui là est dit, une fois pour toutes, mieux que jamais, et si raidement, si purement, qu'on en tremble, qu'on en a la parole coupée, et qu'on sort le coeur blessé et pansé, baigné d'une effluve de larmes. " Hervé Guibert Cet enregistrement de Café Müller a été réalisé en 1985 avec Pina Bausch qui en outre a supervisé toute la production du film. Un document historique.
26-POSTCARD SET featuring 26 full-colour photographs from the bestselling Accidentally Wes Anderson book, based on the Instagram phenomenon FOR FANS OF WES ANDERSON and Wally Koval alike, these postcards pay homage to the director's unique style with photographs from the most interesting locations spotted all around the world UNIQUE AND COLLECTIBLE STATIONERY to bring the world - and loved ones - just a little bit closer, and a must-have for avid travellers and aspiring adventurers of all kinds STURDY PAD-BOUND BOOK allows for easy browsing and detachment of each postcard individually Wherever you are in the world - home or away - with this beautiful postcard set you can send a little piece of Wes Anderson's unique aesthetic to your loved ones, complete with your own 'wish you were here' note. Or, put them in a frame, hang them on a wall and admire these quirky landscapes and unexpected gems forever more. Featuring a 'best of' collection of 26 photographs from the Accidentally Wes Anderson book, each postcard features a full-colour image, a description of its beautiful location and a blank space for your message.
Réédition pour cette monographie de référence sur le cinéaste russe le plus important de l'après-guerre. Ce livre présente sur un même plan les différents aspects de son travail : des séries d'images de ses films les plus importants emprunts de grands thèmes métaphysiques, avec leurs scénarios et leurs principaux participants, mais aussi les écrits critiques et poétiques du grand cinéaste, et enfin ses polaroids qui rendent compte du travail de documentation et de la recherche esthétique approfondie de Tarkovsky.
Dans Les fantômes dont on ne se débarrasse pas, Frieda Grafe analyse le film de Joseph L. Mankiewicz, The Ghost and Mrs. Muir, réalisé en 1947. Il s'agit d'une comédie ironique sous forme de film gothique. Une jeune veuve emménage dans une maison hantée par le fantôme de l'ancien propriétaire, le Captain Gregg, qui se serait suicidé, et dont le portrait est accroché dans une des pièces. À sa suggestion, Mrs. Muir va coucher sur papier le récit de la vie du capitaine qu'il lui dicte dans un langage truculent. Dans le texte de Grafe, il n'y a pas de fantôme, mais un double masculin imaginé par Mrs. Muir, qui lui/nous apparaît sous la forme du très viril Captain Gregg. « Un «rôle de pantalon mental», écrit Frieda Grafe, que Mrs. Muir s'est créé par l'incorporation voluptueuse de la figure masculine, ce qui lui confère cette part de liberté qui la distingue de ses contemporaines », écrit Katharina Sykora. Quand une femme écrit un livre...
Le nouveau livre de la photographe française Estelle Hanania regroupe dix années de collaboration et de documentation autour du travail de Gisèle Vienne.
Monographie subjective dédiée à l'oeuvre de la chorégraphe, le livre propose l'un des corpus d'images les plus denses d'Estelle Hanania, présentant un ensemble de photographies réalisées entre 2008 et 2019.
Pour Estelle Hanania, dont le travail a déjà fait l'objet de deux ouvrages publiés par Shelter Press, le corps humain est une source d'inspiration sans limite. Son habileté à capturer l'essence du travail de Gisèle Vienne, par son regard unique sur les corps et les objets, mais aussi en créant des ponts naturels entre ces spectacles et l'ensemble du son travail photographique, fait de ce nouvel ouvrage un élément majeur dans sa carrière.
Bousculant les canons du livre de spectacle vivant, It's Alive! pose un regard singulier sur le travail de Gisèle Vienne, invitant le lecteur à regarder hors du plateau, à se positionner à une distance nouvelle, mais aussi à envisager l'ensemble de l'oeuvre de la chorégraphe sous un jour nouveau, le contenu du livre se déployant de façon sensible et libre, se détachant d'une approche chronologique ou thématique propre à ce type d'ouvrage.
Livre de photographie ambitieux et en complète résonance avec le catalogue de Shelter Press, c'est avec une émotion non dissumulée que ce titre, portant le numéro de référence SP100, s'inscrit comme un jalon essentiel de notre catalogue.
A century of classic vampire cinema--in posters, stills and artwork--from Murnau to True Blood and beyond.
This visual feast celebrates classic vampire cinema--mainstream and niche--through the many colorful ways in which the key films have been marketed and consumed.
F.W. Murnau's haunting film Nosferatu had its premiere in Berlin in March 1922. Bram Stoker's widow, Florence, tried hard to sue the production company for breach of copyright but had to settle in the end for a court order to destroy all prints and negatives. The film kept resurrecting, though, and is now considered the first, and one of the greatest, of all vampire movies--the founder of a dynasty of prints of darkness.
The bloodline has spread from Nosferatu to Hollywood's Dracula and progeny (1931-48); from Hammer's Dracula/Horror of Dracula and sequels (1958-74) to versions of Sheridan Le Fanu's story "Carmilla" and other lesbian vampires (1970-2020); from the bestselling novels 'Salem's Lot and Interview with the Vampire to vampires who have shed their capes, hereditary titles and period trappings to become assorted smalltown oddballs, addicts, delinquents, psychopaths, rednecks, fashionistas, gay icons, comedians and even comic-book heroes (1975-2022).
This book is dripping with stills, posters, artworks, press books--many of which have not seen the light of day for a very long time--and is authored by cultural historian and connoisseur of the Gothic Christopher Frayling, who has been called "the Van Helsing de nos jours." Christopher Frayling (born 1946) is a recognized authority on Gothic fiction and horror movies. His study Vampyres (1978, 1990, 2016) and his classic four-part television series Nightmare: The Birth of Horror (1996) have helped to move Gothic horror from margin to mainstream. He is the author of Frankenstein and Once upon a Time in the West.
Couvrant une période de plus de 50 années de travail (films noir et blanc, couleur, muets et sonores, montés en vue de leur diffusion auprès d'un public large ou films de commande purement scientifiques, mais aussi photographies et documents d'époque, de 1925 à 1982) et proposant une analyse de l'oeuvre, le catalogue propose une immersion dans l'univers fascinant et atypique de cet auteur indépendant, engagé, politiquement et poétiquement, dans la création par l'image en mouvement.
Publié à l'occasion de l'exposition au Jeu de Paume, Paris, en 2022.
For nearly four decades, Spike Lee has made movies that demand our attention. His extensive filmography reflects an unflinching critique of race relations in the United States, from the Student Academy Award®-winning short Joe?s Bed-Stuy Barbershop: We Cut Heads and the ever-relevant Do the Right Thing to the more recent Oscar®-winning BlacKkKlansman and Da 5 Bloods. A lifelong cinephile and film scholar, Lee draws inspiration from other artists working across a range of eras, genres and global cinemas. He has also devoted much of his career to teaching the next generation of filmmakers.Spike Lee: Director's Inspiration presents Lee's personal collection of original film posters and objects, photographs, artworks and more-many of these inscribed to Lee personally by filmmakers, stars, athletes, activists, musicians and others who have inspired his work in specific ways.Straight from the walls of Lee's 40 Acres and a Mule production studio in Brooklyn, his faculty office at NYU and his Martha's Vineyard home, these objects offer a glimpse into what shapes Lee's signature filmmaking approach. Spike Lee: Director's Inspiration also includes a conversation between Lee and Shaka King (Judas and the Black Messiah), Lee?s list of 95 essential films and brief texts by some of the many artists Lee himself has inspired.Spike Lee (born 1957) is a director, writer, actor, producer, author and artistic director of the graduate film program at NYU's Tisch School of the Arts, where he has taught since 1993.
Ce deuxième opus consacré aux entretiens de Jonas Mekas s'intéresse cette fois-ci aux cinéastes qu'il a rencontrés tout au long de sa carrière, notamment pour ses chroniques dans Village Voice ou autour de son Anthology Film Archives, immense cinémathèque new-yorkaise dont il est co-fondateur, consacrée au cinéma underground.
French New Wave célèbre les affiches explosives et révolutionnaires qui ont accompagné certains des plus célèbres films de la nouvelle vague comme The 400 Blows (1959), Jules et Jim (1962) et Les Parapluies de Cherbourg (1964). Présentant des affiches de plus de 20 pays, les images sont accompagnées des biographies d'une centaine d'artistes, photographes et designers impliqués comme Jean-Michel Folon, Boris Grinsson, Waldemar Swierzy, Christian Broutin, Tomasz Ruminski, Hans Hillman, Georges Allard, René Ferracci, Bruno Rehak, Zdenek Ziegler, Miroslav Vystrcil, Peter Strausfeld, Maciej Hibner, Andrzej Krajewski, Maciej Zbikowski, Josef Vyletal, Sandro Simeoni, Averardo Ciriello, Marcello Colizzi et bien d'autres.
Ce second volume des journaux new-yorkais de Jonas Mekas revient sur les années 1969 à 2011, comme une chronique de la contre-culture new-yorkaise. Il est complété par de nombreux documents d'archive et extraits de journaux en fac-similé, et contient dans un dernier cahier un index des noms, une filmographie complète du réalisateur ainsi que sa biographie.
Publiée en langue anglaise et chinoise, une version actualisée de l'ouvrage Drawings & Models - 1945-2010 (épuisé), la compilation chronologique des travaux formels de Yona Friedman depuis 1945 (plus de 3000 plans, schémas, dessins, maquettes, photomontages, peintures murales, installations, etc., annotés par l'architecte).
La diversité des projets, des concepts, des utopies réalisables et des inventions futuristes documentés dans cet ouvrage monumental permet d'appréhender l'ensemble de l'oeuvre de Friedman dans ses multiples dimensions (urbaine, économique, écologique, culturelle, sociale et politique), des dômes en bambou en auto-construction en Inde aux projets d'agrandissement du Centre Pompidou, en passant par les structures lamellaires ou protéiniques, les architecture amorphes et mobiles, la « Ville spatiale » intégrant une activité agricole, la tour en spirale, le tapis urbain et la chaise à anneaux, le pont-jardin et la ville-pont, une cité imaginaire en Arctique, le musée sans portes, le projet de métro européen...
La première chronologie des travaux formels de Yona Friedman a été publiée à Rotterdam en 1999. Ce nouveau livre reprend le même principe en augmentant et compilant, depuis 1945 jusqu'à aujourd'hui, l'ensemble de ses travaux. L'accent a été volontairement mis sur la qualité architecturale et les solutions constructives que Yona Friedman propose depuis plus de soixante ans. Au total, près de 3000 images, souvent inédites, viennent renforcer son rôle important en tant qu'architecte urbaniste.
Tout a été généreusement pensé et détaillé pour l'homme, de son habitat à sa vie en groupe, de l'économie à l'écologie, du social au politique, au travers de plans, schémas, dessins, maquettes, collages, installations...
Tous les documents proviennent des archives de Yona Friedman.
Ces poèmes issus de trois recueils différents et dont la composition s'échelonne sur plus de dix années ont été choisis, en accord avec Pasolini, dans le souci de retracer aussi complètement que possible un itinéraire idéologique et poétique tourmenté. C'est tout le bilan d'une époque liée aux luttes et aux retombées du mouvement ouvrier qui se trouve ici consigné. Le cinéma a contribué à divulguer le message de Pasolini. Mais l'écriture poétique qui le fit d'abord connaître constitue son mode d'expression privilégié.
I Seem To Live. The New York Diaries, 1950-2014 est l'oeuvre littéraire clé de Jonas Mekas. Ce premier volume, couvrant la période 1950-69, paraît à titre posthume un an après sa mort. Il se situe sur un pied d'égalité avec son oeuvre cinématographique, qu'il a initialement développée avec son frère Adolfas après leur arrivée à New York. En 1954, les deux frères ont fondé le magazine Film Culture, et en 1958 Jonas a commencé à écrire une chronique hebdomadaire pour The Village Voice. C'est à cette période que son écriture, ses films et son engagement indéfectible envers l'art commencent à faire de lui un pionnier du cinéma d'avant-garde américain et le baromètre de la scène artistique new-yorkaise.
From Drugstore Cowboy to Elephant, Milk and Good Will Hunting, Gus Van Sant?s films have captured the imagination of more than one generation. Alongside his filmaking, however, Van Sant is also an artist, photographer and writer. Based on a series of completely new and exclusive interviews, this book provides a personal insight into how Van Sant successfully approaches these different and very varied artforms, providing an inspirational look into the working life of one of America?s most pivotal cultural and creative practitioners.
Composé d'exceptionnelles photos souvenir d'une des beautés du studio Touchstone au XXème siècle, le tendre portfolio Hepburn de Bob Willoughby est désormais disponible dans un nouveau format à prix plus doux. Admirateur passionné et ami proche de la jeune star, Willoughby a immortalisé l'élégance d'Hepburn à l'écran comme à la ville, de ses débuts dans Vacances romaines, qui lui valent un oscar, aux sommets vertigineux de la renommée internationale. Au cours de sa carrière distinguée de photographe du tout Hollywood, Bob Willoughby a pris des clichés légendaires de Marilyn Monroe, Elizabeth Taylor et Jane Fonda, mais son modèle préféré ne fait pas l'ombre d'un doute: Audrey Kathleen Ruston, puis Edda van Heemstra Hepburn-Ruston, plus connue sous le nom d'Audrey Hepburn. Willoughby a été appelé un matin pour prendre la nouvelle starlette en photo, peu après l'arrivée de celle-ci à Hollywood en 1953, mission banale pour un portraitiste que beaucoup considèrent comme celui qui a perfectionné le reportage photo de plateau. Mais quand il a rencontré la beauté née en Belgique, Willoughby est tombé sous le charme. Elle m'a pris la main comme... eh bien, une princesse, et m'a ébloui avec ce sourire que Dieu a créé pour faire fondre le coeur des hommes, se rappelle-t-il. La carrière d'Hepburn s'est emballée après ses débuts dans Vacances romaines, pour lequel elle a reçu un oscar, et Willoughby est devenu un ami proche de la star, photographiant sa vie professionnelle et privée. Ses clichés historiques, tendres et perfectionnistes, explorent les diverses facettes de la beauté et de l'élégance d'Hepburn, du début au sommet de sa carrière dans My Fair Lady en 1963. Les études de Willoughby qui la montrent sur le plateau, se préparant pour une scène, interagissant avec les acteurs et réalisateurs avant de retourner à sa vie privée, illustrent une des plus grandes histoires d'amour platonique de la photographie et offrent des photos souvenir exceptionnelles d'une des beautés iconiques du studio Touchstone au XXe siècle.
Bob Mitchum me rappelle l'époque où j'étais enfant, que mes parents ne s'entendaient pas et qu'ils allaient bientôt divorcer. Ma mère venait me chercher à la sortie de l'école à 15 heures précises et roulait jusqu'à un bar à la sortie de l'autoroute non loin de chez nous, en Pennsylvanie. Elle y retrouvait son petit ami. Je m'asseyais au bar et je faisais mes devoirs de mathématiques, d'histoire et de littérature. Il était 16h-16h30 et la plupart des gars au bar regardaient le sport ou les informations à la télévision. Parfois, certains m'aidaient à faire mes devoirs ; nombre d'entre eux me faisaient penser à Robert Mitchum. Ils étaient grands et très athlétiques - avec de grandes mains et une voix grave de buveur de whiskey. Ces après-midis m'ont aidé à définir la façon dont je regarde les hommes que je photographie - comme s'ils appartenaient à cette époque. Et ils m'ont donné une confiance en moi que je n'avais jamais eue. Bruce Weber