Réalisé par le grand photographe de mode Bert Stern - à qui l'on doit les célèbres portraits de Marilyn Monroe pris peu de temps avant sa disparition -, "Jazz on a Summer's Day" est l'un des tout premiers concerts filmés de l'histoire du cinéma et certainement l'un des plus mythiques. Louis Armstrong, Mahalia Jackson, Chuck Berry, Chico Hamilton... les plus grandes légendes du jazz défilent sous le soleil éclatant de Newport et livrent une performance unique. Entre deux concerts, Bert Stern filme l'effervescence qui anime cette ville, à la manière d'une parenthèse enchantée. Un témoignage rare sur l'Amérique de la fin des années 1950.
Contient :
- 30 ans de chansons (1954 - 1981) :
Brassens, seul ou accompagné, chante sur les plateaux de télévision ses plus grands succès comme des chansons plus confidentielles, entrecoupé d'échanges sur la musique, les copains, les livres, les femmes, l'écriture de chanson. Des moments savoureux, intimes et émouvants. Par ailleurs, un grand nombre de chanteurs et chanteuses (Juliette Greco, Patachou, Barbara, Maxime Le Forestier, Renaud...) interprètent ses chansons. Des extraits issus des plus grandes émissions de la télévision : Discorama, Cinq Colonnes à la Une, L'École des vedettes, Le Palmarès des chansons, Numéro Un...
- "Brassens, l'unique" (1981) :
Avec la complicité du chanteur, Jean-Christophe Averty, réalisateur super star de la télévision des années 60-70, nous offre sa vision du monde de Brassens, tout en effets spéciaux numériques. Un inédit réjouissant et un brin décalé !
Chansonnier, poète, anar, tantôt gouailleur tantôt lyrique, tendre ou revendicateur, bête de scène, artiste à fleur de peau, pop star, Léo Ferré est un monument protéiforme de la chanson française qui rend son public insatiable. Pour la première fois, l'Ina rassemble dans ce coffret d'anthologie les prestations de Léo Ferré à la télévision : la quasi-totalité de ses interprétations avec plus de 70 chansons, des interviews, un extrait de 15' du concert à Bobino de 1970 et le très beau documentaire filmé à l'occasion de sa tournée en Belgique de 1971.
Jeanne d'Arc est sur le bûcher et remonte le cours du temps, évoquant avec frère Dominique les épisodes principaux de son existence. Sa vocation, sa mission spirituelle, ses combats terrestres. De son martyre à son enfance, sa vie se déroule devant elle parmi les paysages et les personnages qu'elle a connus, avec l'enchantement du rêve ou les déformations du cauchemar.
Un oratorio de Paul Claudel et Arthur Honegger magnifiquement filmé par Roberto Rossellini. Une version lyrique de la vie de Jeanne d'Arc et une perle de la période Rossellini-Bergman, inédite !
La disparition de ce grand poète, le 13 mars 2010, a bouleversé la France. Beaucoup d'entre nous se sont reconnus dans ses chansons et dans les textes de Louis Aragon. Retrouvez dans ce DVD inédit ses plus belles et plus grandes chansons dans leur meilleure interprétation à la télévision. Ce DVD hommage est un témoignage à transmettre.
Concert filmé en présence d'Henri Dutilleux dans le cadre prestigieux de l'Abbaye de Fontevraud autour de trois oeuvres majeures pour quatuor; Ravel, Debussy et Dutilleux
Ce coffret rassemble trois films autour du Quatuor Rosamonde: "Notes pour un Quatuor" 67' on suit les répétitions du N°14 de Beethoven, accompagné du CD du N°14, "Henri Dutilleux: Ainsi la Nuit" 58' témoignage d'une relation avec le compositeur de plus de 20 ans et "Au cour du Quatuor de Notre Temps" captation des Quatuors de Debussy, Ravel et Dutilleux à l'abbaye de Fontevraud.
- Le silence de l'exode :
Yom propose une traversée hypnotique d'un ailleurs mystique, à la croisée des musiques juives, orientales et moyen-orientales. Exceptionnel improvisateur et compositeur, Yom se revendique comme un nomade à l'intérieur de sa propre musique. Sa clarinette converse avec le violoncelle oriental, les percussions iraniennes, la contrebasse, chacun venant confronter ses traditions musicales à l'autre.
- Back to the Klezmer :
Yom poursuit ici la recherche ses origines plurielles : se ressourcer à la racine et au berceau originel de la musique Klezmer, entre Turquie, Hongrie, Roumanie et Serbie. Un "retour" en quartet, avec Maxime Zampieri au tapan, Benoît Giffard au trombone et au tuba, et le Franco-Serbe Dario Ivkovic à l'accordéon.
De 1979 à 1981 des centaines de milliers d'aficionados se retrouvent devant Antoine de Caunes et sa bande (Jacky, Zabou, Jackie Berroyer...) pour 34 minutes de music live ! C'est le meilleur de la scène musicale internationale, qui vient chaque semaine faire un concert filmé à Paris, spécialement pour l'émission ! 30 ans après, la liberté de ton qu'Antoine de Caunes apportait à la TV reste intacte tout comme le succès de la New-Wave anglaise et autres veines post-punk alors émergeantes.
Figures incontournables de l'histoire de la chanson française, les Frères Jacques étaient avant tout d'authentiques hommes de spectacle dont les performances scéniques restent des références absolues, encore inégalées dans leur genre. Ce coffret propose : "Paris ébréché" : Au milieu d'incroyables décors dessinés par Albert Dubout, de séquences d'animations et de saynètes désopilantes, Les Frères Jacques revisitent quelques-uns de leurs plus grands succès autour de la ville de Paris. Une compilation de plus de 50 chansons : les meilleures chansons des Frères Jacques dont leurs plus grands classiques (La queue du chat, Les boîtes à musique, La confiture...) et leurs interprétations des textes de Prévert (Barbara, En sortant de l'école, Deux escargots s'en vont à l'enterrement...) interprétés en live ou sur des plateaux de télévision tout au long de leur carrière.
Grand retour à l'image de ce grand collectif multi-culturel des années 1990, Transglobal Underground. La musique de Transglobal Underground a toujours été intimement liée aux dancefloors britanniques. Ce film nous fait découvrir un autre visage de ce groupe phare des années 1990, celui d'un collectif multiculrel dont la prestation scénique est époustouflante. Véritable plate-forme musicale, le groupe s'articule autour des deux producteurs Tim Whelan et Hamid Man Tu. Chaque concert, chaque enregistrement est l'occasion de travailler avec des musiciens d'horizons différents. Mélange de sonorités indiennes, de chants arabes, de mélopées d'Europe de l'Est et de beats electros, leur musique est à l'image de la diversité ethnique du Londres d'aujourd'hui. Ce film a été tourné au festival des Escales de Saint-Nazaire 2007 et à Londres.
Depuis le premier album, "Cliquety Kliqk", très influencé par le Hip Hop, jusqu'au dernier disque "Carry no Ghosts", d'influence électro-pop, Hervé Salters expérimente en arpentant les territoires de la musique anglo-saxonne. En suivant son frère, le réalisateur, Laurent Salters, nous dévoile l'intimité d'un artiste d'ordinaire peu enclin à la confidence mais dont les prestations scéniques marquent les esprits.
Contient :
- Standards (52'), Pierre de Bethmann Trio :
Pierre de Bethmann, soutenu par ses deux partenaires Sylvain Romano et Tony Rabeson, livre en trio la part profonde de ses affects musicaux démontrant au passage le vaste champ de son répertoire. Du Chant des Partisans à Belle-Ile en Mer, de Eric Dolphy à Maurice Ravel, il se promène en amoureux à travers ces thèmes et ces chansons devenus des "standards", et nous mène ainsi dans les zones les plus sensibles de son univers sonore.
- Medium Ensemble (51'), Paris Jazz Festival :
Ce concert a été filmé à l'occasion de la sortie du double album Sisyphe, enregistré en octobre 2013, par le pianiste et compositeur Pierre de Bethmann et le Medium Ensemble, une formation acoustique de douze solistes où les soufflants se taillent la part du lion. Entre réarrangements de compositions personnelles et créations inédites, ce projet puise son énergie et son inspiration aux sources du jazz et dans la musique française du début du XXe siècle.
Contient :
- Mechanics, un film de Guillaume Dero :
Sylvain Rifflet a construit la musique de Mechanics autour de ses influences - on peut citer pêle-mêle, Steve Reich, Moondog, Philip Glass ou Terry Riley - mais aussi autour du son hybride de ses compagnons de route à l'instrumentation singulière : les percussions de Benjamin Flament mélangées à la kalimba ou à la flûte de Joce Mienniel, soutenues par la guitare électrique de Philippe Gordiani. Ce concert se place dans la droite ligne du travail de Sylvain Rifflet autour de la musique de Moondog.
- Perpetual Motion, a celebration of Moondog, un film de Arthur Rifflet :
Moondog, le Viking de la Sixième avenue, a hanté l'asphalte jungle new-yorkaise et les esprits de l'époque, transcendant les chapelles musicales. C'est sur ce terrain que se place Perpetual Motion, la création-événement conçue par Sylvain Rifflet avec son confrère saxophoniste américain Jon I bagon, qui convie son brillant quartette Alphabet, la pianiste Eve Risser, et même deux chorales de collégiens de Bobigny. L'enjeu : réinvestir la musique de Moondog, interroger la ville tentaculaire et spectaculaire (la vidéo a ici toute sa place), et décoller vers d'autres imaginaires. Le film d'Arthur Rifflet est la chronique de cette création, entre New York et Bobigny.
- Living Being :
Un jour, Vincent Peirani comptera parmi les très grands du jazz. On pourra en dresser le portrait définitif, et on n'y touchera plus. Aujourd'hui, nous voulons au contraire en faire l'esquisse, toute en vie et en mouvement. Montrer son corps-à-corps avec l'instrument et la composition. Capter l'émergence d'une voix singulière, et celle d'un quintet si justement nommé Living Being.
- Belle Époque :
Émile Parisien et Vincent Peirani incarnent parfaitement ce mouvement perpétuel, entre héritage et expérimentation, qui touche à l'essence même du jazz. Deux trajectoires filantes, réunies un moment pour aller un peu plus loin, chercher plus avant - un exemple rare d'amitié musicale. Il fallait saisir au vol ces deux météores, avant qu'eux-mêmes ne soient le répertoire de demain.
Contient :
- Supersonic : A Tribute to Sun Râ :
Le 6 avril 2012, lors du festival Banlieues Bleues, dans la salle Pablo Neruda de Bobigny, Rémi Vinet filme le tout premier concert du Supersonic, hommage à Sun Râ. Depuis lors, ce spectacle est devenu culte, et le disque éponyme a obtenu une Victoire du Jazz. Dans ce film, Rémi Vinet sublime l'énergie débordante du Supersonic. Il recueille aussi les improvisations et les confidences de Thomas de Pourquery évoquant Sun Râ. Le son de la joie est illumination. Son image aussi.
- Chauve Power :
"Thomas de Pourquery et Andy Emler n'ont jamais enregistré leur duo et ne répètent jamais avant un concert. Pour improviser, rester libres. En 2014, ils m'offrent pourtant de filmer une séance de travail exceptionnelle et inédite, suivie d'un concert programmé au festival Banlieues Bleues." Rémi Vinet filme deux virtuoses chauves de la scène jazz contemporaine à l'ouvrage, dans une intimité de la création musicale qui nous décille les oreilles.
Après ses succès internationaux, le maître de la musique brésilienne Gilberto Gil part pour une tournée d'un nouveau genre à travers l'hémisphère sud. Au fil des rencontres et des concerts se dévoile sa vision d'un futur pluriel et interconnecté, riche d'espoirs, d'échanges... et bien sûr de musique. Après avoir été ministre de la Culture de Lula et vendu plus de 5 millions d'album, Gilberto Gil a retrouvé sa vie de nomade. Viramundo le montre dans les coins les plus reculés de la planète, à la recherche de nouvelles sensations musicales. On y découvre un homme à l'affût, curieux, passionné, et véritable roi de la world music dans des séquences émouvantes.
Run DMC, Joseph Simmons, Jason Mizell, Darryl McDaniels
A l'été 2010, les Libertines se sont reformés pour deux concerts exceptionnels devant 100.000 fans aux festivals de Leeds et de Reading. Après six ans de brouille, de griefs, de unes des tabloïds et de nouvelles vies, le groupe avait enfin l'occasion de goûter à ces grands concerts dont leur catastrophique séparation les avait privés.
Roger Sargent, photographe historique du NME, a suivi les coulisses des cette reformation depuis sa session photo avec le groupe pour la couverture du NME annonçant le retour des Libertines, en passant par les répétitions et un exceptionnel concert de chauffe au Forum de Londres pour finir sur les scènes gigantesques de Leeds et Reading.
A travers un récit historique mettant en scène un meurtre d'enfant, des moines, et un tsar sombrant dans la folie ? Modest Mussorgsky utilise un large arc thématique dans cet opéra choral, commencé en 1868, avec lequel il a tenté d'éveiller les consciences de son temps. En artiste du XIXe siècle il a été largement inspiré par la psychologie des foules. Ainsi, dans « Boris Godounov », aux côtés du héros, le rôle principal est donné au peuple russe qui est tour à tour réjouit, affamé, exigeant et en attente de vérité. Avec le concours du chef d'orchestre Kent Nagano, le metteur en scène espagnol Calixto Bieito propose une lecture originale de cette oeuvre de génie. La distribution dominée par le Boris de Alexander Tsymbaliuk réunit Gerhard Siegel (Schuisky), Markus Eiche (Chelkalov) et Anatoli Kotscherga (Pimen).
Fort du succès de son Rigoletto, c est en 1851 que Verdi fait appel au librettiste Salvadore Cammarano pour son nouvel opéra Il Trovatore, d après la pièce éponyme du dramaturge espagnol Antonio García Gutiérrez. Verdi nous emmène dans l Espagne du Nord du XVe siècle pour suivre le destin tragique de personnages sous l emprise de la gitane Azucena qui cherche à venger la mort de sa propre mère. Les premières notes percussives et solennelles donnent le ton de ce chef-d'oeuvre qui traite essentiellement de l abandon, la passion amoureuse, le pouvoir, l amour filial et la vengeance. Verdi nous livre ici une musique parfois tendre et sensuelle, d une énergie et d une force exceptionnelles, faisant preuve d audace et de maîtrise dans son langage musical et vocal. Cette production marquait les débuts à la Monnaie du metteur en scène russe Dmitri Tcherniakov, ainsi que la première rencontre avec une oeuvre de Verdi pour Marc Minkowski.
Une percée au coeur de la musique avec la périphérie parisienne
comme décor à l'occasion du festival Banlieues Bleues. Conçu
comme une improvisation contrôlée autour d'extraits de
concerts (Jerry Gonzales, Sun Râ Arkhestrâ, Sainkho
Namtchilak, Paul Bley...), de backstage et de répétitions, le
film tisse des liens entre ces galaxies musicales, inscrites
dans le bleu profond de la banlieue.
Retrouvez tous les secrets de studios et la génèse de l'album Catch a Fire de Bob Marley and The Wailers dans ce documentaire.
En Mai 2011, Neil Young conduit une Crown Victoria 1956, depuis sa ville natale idyllique de Omemee (Ontario), jusqu'au mythique Massey Hall de Toronto, où il assure en toute intimité les 2 dernières dates de sa tournée mondiale. Sur la route, Young raconte ses souvenirs de jeunesse à Jonathan Demme, réalisateur oscarisé pour Philadelphia et Le Silence des Agneaux. Demme, collaborateur et fan de longue date du musicien, a su capter ces instants de pure intimité, leur donnant une ampleur sans pareil en les accompagnant d'extraits de concert de l'artiste. Des performances live sublimes, incluant des titres extraits de son album Le Noise, les grands classiques "Ohio", "Hey Hey, My My", "I Believe in You", et les inédits "Leia" et "You Never Call". À travers la musique et les histoires personnelles de Neil Young, Demme nous plonge de façon introspective et rétrospective dans le coeur et l'âme d'un artiste de légende...